Jameel Noori Nastaleeq FlipFont

Nastaʿlīq (Persian: نستعلیق, from نسخ Naskh and تعلیق Taʿlīq) is one of the main calligraphic hands used in writing the Persian script, and traditionally the predominant style in Persian calligraphy.[1] It was developed in Iran in the 14th and 15th centuries.[2] It is sometimes used to write Arabic-language text (where it is known as Taʿliq[citation needed] or Persian and is mainly used for titles and headings), but its use has always been more popular in the Persian, Turkic and Urdu sphere of influence. Nastaʿlīq has extensively been (and still is) practised in Iran, Pakistan, India, Afghanistan and other countries for written poetry and as a form of art.

A less elaborate version of Nastaʿlīq serves as the preferred style for writing in Kashmiri, Punjabi and Urdu, and it is often used alongside Naskh for Pashto. In Persian it is used for poetry only. Nastaʿlīq was historically used for writing Ottoman Turkish, where it was known as tâlik[3] (not to be confused with a totally different Persian style, also called taʿlīq; to distinguish the two, Ottomans referred to the latter as taʿlīq-i qadim, "old taʿlīq").

Nastaʿlīq is the core script of the post-Sassanid Persian writing tradition, and is equally important in the areas under its cultural influence. The languages of Iran (Western Persian, Azeri, Balochi, Kurdi, Luri, etc.), Afghanistan (Dari, Pashto, Uzbek, Turkmen, etc.), Pakistan (Punjabi, Urdu, Kashmiri, Saraiki, etc.), and the Turkic Uyghur language of the Chinese province of Xinjiang, rely on Nastaʿlīq. Under the name taʿliq (lit. “suspending [script]”), it was also beloved by Ottoman calligraphers who developed the Diwani (divanî) and Ruqah (rık’a) styles from it.

Nastaʿlīq is amongst the most fluid calligraphy styles for the Arabic alphabet. It has short verticals with no serifs, and long horizontal strokes. It is written using a piece of trimmed reed with a tip of 5–10 mm (0.2–0.4 in), called qalam ("pen", in Arabic and Persian قلم), and carbon ink, named davat. The nib of a qalam can be split in the middle to facilitate ink absorption.

Two important forms of Nastaʿlīq panels are Chalipa and Siah-Mashq. A Chalipa ("cross", in Persian) panel usually consists of four diagonal hemistiches (half-lines) of poetry, clearly signifying a moral, ethical or poetic concept. Siah-Mashq ("black drill") panels, however, communicate via composition and form, rather than content. In Siah-Mashq, repeating a few letters or words (sometimes even one) virtually inks the whole panel. The content is thus of less significance and not clearly accessible.

For more detail:https://en.wikipedia.org/wiki/Nasta%CA%BFl%C4%ABq_script

Nasta'liq (persan: نستعلیق, de نسخ Naskh et تعلیق Ta'liq). Est l'une des principales mains calligraphiques utilisées par écrit le script persan, et traditionnellement le style prédominant dans la calligraphie persane [1] Il a été développé en Iran dans les 14ème et 15ème siècles. [2] Il est parfois utilisé pour écrire du texte en langue arabe (où il est connu sous le nom Ta'liq [citation nécessaire] ou persan et est principalement utilisé pour les titres et les titres), mais son utilisation a toujours été plus populaire dans le domaine perse, turc et ourdou influence. Nasta'liq a largement été (et est encore) pratiquée en Iran, le Pakistan, l'Inde, l'Afghanistan et d'autres pays pour la poésie écrite et comme une forme d'art.

Une version moins élaborée de nasta'liq sert de style préféré pour écrire Kashmiri, punjabi et urdu, et il est souvent utilisé aux côtés Naskh pour pachto. En persan, il est utilisé pour la poésie que. Nasta'liq a été historiquement utilisé pour l'écriture turque ottomane, où il était connu sous le nom talik [3] (à ne pas confondre avec un style persan totalement différent, aussi appelé Ta'liq, de distinguer les deux, Ottomans visés à ce dernier comme Ta'liq-i Kadim, « vieux Ta'liq »).

Nasta'liq est le script de base de la tradition d'écriture persane post-sassanide, et est tout aussi important dans les zones sous son influence culturelle. Les langues de l'Iran (Perse occidentale, azéris, baloutches, Kurdi, Luri, etc.), l'Afghanistan (dari, pachtou, ouzbeks, turkmènes, etc.), Pakistan (Punjabi, Urdu, Kashmiri, Saraiki, etc.), et langue turque ouïghour de la province chinoise du Xinjiang, compter sur nasta'liq. Sous le nom ta'liq (litt « suspension [scénario] »), il a également été aimé par les calligraphes ottomans qui ont développé le Diwani (Divani) et les styles Ruqah (rık'a) de lui.

Nasta'liq est parmi les styles de calligraphie les plus fluides pour l'alphabet arabe. Il a court sans empattements verticales et horizontales longues courses. Il est écrit en utilisant un morceau de roseau garni d'une pointe de 5 à 10 mm (0,2 à 0,4 in), appelé Qalam ( « plume », en arabe et persan قلم), et de l'encre de carbone, nommé davat. La pointe d'un Qalam peut être divisée dans le milieu pour faciliter l'absorption de l'encre.

Deux formes importantes de panneaux nasta'liq sont Chalipa et Siah-mashq. Un Chalipa ( « croix », en persan) panneau se compose généralement de quatre hémistiches diagonale (demi-lignes) de la poésie, ce qui signifie clairement un concept moral, éthique ou poétique. panneaux Siah-mashq ( « perceuse noire »), cependant, communiquent par l'intermédiaire composition et de forme, plutôt que le contenu. Dans Siah-mashq, répéter quelques lettres ou quelques mots (parfois même un) encres pratiquement tout le panneau. Le contenu est donc moins d'importance et non clairement accessibles.

Pour plus de détails: https: //en.wikipedia.org/wiki/Nasta%CA%BFl%C4%ABq_script